Paul Boisvert, ancien conseiller municipal, soutient décision la démolition du château d’eau , affirmant que la structure, âgée de 96 ans, était devenue un danger.
Avec ses 45 mètres de hauteur et son emplacement central, elle posait un risque en cas de tempête. «Il avait fait son temps» , justifie-t-il. Cependant, certains membres de la communauté regrettent la perte d’un repère emblématique, visible à 10 kilomètres à la ronde, qui symbolisait Gravelbourg. Pour eux, cette destruction reflète une négligence envers le patrimoine.
Alors que le site reste vide, l’incompréhension persiste, illustrant des visions divergentes sur l’héritage culturel et les priorités de sécurité. Le château d’eau laisse un vide, autant physique qu’émotionnel.
Aristide Nizigire
Journaliste d’IJL